Après 3 semaines en Nouvelle-Zélande, à 4 000 km d’ici, retour au rythme des îles, et celui du travail aussi.

Comment raconter ses vacances ? comment transmettre ses impressions, ses sentiments ?
Sachant que j’aurais aimé savoir observer et écrire, savoir dessiner ou photographier, savoir manier l’humour, etc etc

Allez, je me lance.

carte de Nouvelle Zélande

Ce n’est pas le circuit que nous avons suivi, mais pas loin.
Et puis, ça n’a pas une grande importance !

Mais c’est fichu comme ça, 1500 km (à peu près) de long, une surface 2 fois plus petite que la France.
4 millions d’habitants (15% de Maoris), et beaucoup beaucoup d’Asiatiques (Chinois, Coréens, Malais, Philippins, et d’autres que j’identifie moins) nouvellement arrivés.

Un ferry entre les 2 îles, qui met à peu près 3 heures pour relier Wellington (capitale) et Picton, gros village niché au fond d’un long fjord.

Au delà de cette situation géographique (pas belle mon intro ?, j’ai l’impression de préparer un exposé comme quand j’étais au lycée, ou presque, parce qu’il n’y avait pas photos et informatique non plus…), quelques images générales. On rentrera dans les détails un autre jour, quand j’aurais pris le temps.

La Nouvelle-Zélande se présente comme le pays de tous les possibles, et en particulier le pays de tous les sports extrêmes. Vous aimez le grand frisson, vous êtes audacieux : ce pays est fait pour vous. Donc, toutes les brochures vantent la pratique de saut à l’élastique, saut en parachute, rafting, tour d’hélico, et que sais-je ? là l’imagination est sans limite, le tout proposé à des prix qui sont loin d’être négligeables.

L’île du Nord, Rotorua et Wellington

Rotorua : au centre de l’île du nord, au bord d’un lac. Grand lieu touristique. Des stations de ski pas loin. Surtout une terre « qui fume » comme ici, et un regroupement de Maoris, qui proposent spectacles et visites.

Rotorua
Spectacle maori

(que personne ne s’étonne de ses beaux tatouages, le feutre, ça s’efface…).

Les alentours de Wellington au coucher du soleil.

La côte, du côté de Wellington

Et puis on passe au sud.

L’ïle du Sud, Queenstown et Christchurh

En gros, une île humide parce que très pluvieuse à l’ouest, mais sèche à l’est.
Des sommets enneigés (de mémoire, 23 sommets à plus de 2 300 m), des lacs, des vignobles et des moutons un peu partout, et des routes étroites.

Une idée de la côte nord de l’île du sud. La montagne qui plonge dans l’eau, donc des îles et des fjords, des recoins, une étroite route en lacets, mais des jolis points de vue. Faisait pas chaud quand même !

Arrivée à Picton - NZ - fourclavier.com
Vignes en Nouvelle-Zélande - fourclavier.com
Côte ouest de l'ile du sud - NZ - fourclavier.com
Glacier Frantz Joseph

La côte ouest de l’île du sud est un mélange de Bretagne, d’Irlande, mais qui accepterait des sommets enneigés.
Une côte rocheuse, très découpée, une végétation qui ne manque pas d’eau, donc débordante.
Et puis pleine de surprise, comme ces glaciers à 15 km de la côte, dont les pieds sont accessibles facilement en balade, avec poussettes, gamins en sandales, et mamies en groupes !

Christchurch est une ville toute mignonne, pleine de jeunes, au bord de la côte est.

Centre de Christchurh - fourclavier.com

Et enfin, Queenstown, « LA » ville des sports extrêmes, où tout est possible, à condition de payer. La ville regorge de boutiques et autres offices de tourisme proposant pléthore d’activités. Obtenir la liste et une carte des balades (gratuites) à faire à pied n’a pas été si facile !
Mais que c’est beau ! [et pour les amateurs, suis pas allée faire le tour qui s’intitule « Visite des lieux (c’est à dire des montagnes) où a été tourné le Seigneur des Anneaux » – pas trop mon truc ça !]

Queenstown - NZ - fourclavier.com

(si, si, j’ai grimpé, même pas pris le télécabine, hé hé !!)

Les amis, voilà pour aujourd’hui.
A bientôt !