On oublie trop souvent Moorea, quand on cite les îles à visiter. Parce que c’est trop simple ? trop en face de Papeete ?

Moorea

Rare qu’on ne trouve aucun nuage au-dessus des sommets, alors j’en profite pour commenter.

En partant de la gauche, la passe (OK. Un peu escamotée sur ce cliché) qui permet aux nombreux ferrys venant de Papeete d’accoster.

Le golf en cours de construction. Il s’agit avec ce golf de pouvoir satisfaire une demande croissante dans le tourisme : le circuit golfique. Il en existe un, superbe parait-il, à Tahiti. Avec un 3°, en cours de négociation à Tahaa, le circuit ravirait les amateurs… Affaire à suivre.

Puis la baie de Cook, celle de Opunohu, et le mont Rotui entre les deux.

Complètement à droite, l’ancien site du club med, fermé et laissé à l’abandon. Mais l’endroit reste le meilleur coin de l’île : du sable fin et blanc, des motu sur lesquels farnienter, du vent pour les kiteurs, des raies pour les amateurs. Bref, que du bon.

Moorea
Moorea
Vaiare, la porte d’entrée à Moorea quand on arrive par ferry

Enfin, Moorea a ceci de sympa, c’est qu’elle est vivante (comme Huahine par exemple). Je veux dire là qu’il n’y a pas que des hôtels (comme à Bora), et qu’on rencontre donc la vraie vie, une vie locale dynamique (je caricature un peu, mais c’est l’idée générale que j’en retire).

Bon, les images sont d’archives personnelles, parce que ce week-end on y a retrouvé la houle, un vent fort, un lagon déchainé, et donc je ne me suis qu’à peine baignée, j’ai ainsi fait les boutiques, bouquiné, et commencé à coudre mon premier tifaifai !