C’est le moment de reprendre « la vie en couleurs », et revenir sur nos pas au Chili. Après mes histoires de Moai et de poules de l’Ile de Pâques, j’avais promis une suite, la voilà. C’est maintenant que je vous raconte la magie de l’Osorno, mon volcan fétiche.

Je passerai brièvement sur notre séjour à Santiago où j’ai surtout visité les commissariats.

Avec Santiago, on n’est pas restés très copains, on a même eu du mal à en partir. Du moins, nous avons quitté la ville assez stressés.

Vous avez déjà vu ça, vous ? nous louons une voiture pour partir (la route des vins nous attendait… héhé), et le loueur nous amène la voiture à l’hôtel, ce qui était plutôt bien. Et là, surprise : la voiture était livrée sans plan, ni de ville ni du Chili, et surtout le réservoir vide !!!!

Quitter un centre ville de capitale dans ces conditions….. ben, on s’en est sorti. Nous avons assez vite résolu le problème du plein, mais pour la carte…. nous avons fini tout notre séjour sans carte !!! que je vous explique : les impressions de cartes ont lieu une fois l’an, en ….. janvier. Donc, comme ils sont malins et surtout bons gestionnaires, il y a longtemps qu’il n’y a plus de stocks de cartes routières ou touristiques en décembre au Chili. C’est aussi simple que ça.

Bref. On file donc vers le sud, pour la route des vins exactement. Je vous passe les détails, les arrêts, et peut-être bien qu’un jour sans inspiration, je reviendrai vous parler des vins chiliens.

Pour aujourd’hui, c’est l’Osorno, mon choc « paysager » (je sais pas trop si ça se dit, mais ça me convient. Alors….).

L’Osorno, ça se voit de loin….

Osorno - Chili

L’Osorno, ça se laisse découvrir….

Osorno - Chili

L’Osorno, ça se laisse apprécier….

Osorno - Chili

L’Osorno, ça se quitte difficilement….

Osorno - Chili

Bon, chipotez pas, je crois bien que sur cette dernière photo, ce n’est pas l’Osorno, mais il suffit d’y croire un peu…. Et l’Osorno n’est pas le seul volcan du coin, ils auraient plutôt tendance à former une chaîne, que les médias évoquent trop souvent en cas de tremblement de terre ou d’éruption volcanique.

2 Jours à Puerto Varas, au pied de cet Osorno, ce fut trop bref. Il y a un immense lac, des balades à pied et à cheval, une vraie animation touristique et sportive. Et, curieusement, beaucoup d’Allemands, de boutiques et restaurants allemands… Bon, je sais bien que l’histoire du coin explique très bien la présence allemande, mais quand on y arrive, c’est curieux quand même….

Nous en sommes repartis par Puerto Montt, en bateau cargo, pour rejoindre la Patagonie.

Rendez-vous au prochain épisode.

Portez-vous bien.